bombardements et destructions

Les passages d'aéroplanes déchaînent l'enfer de la canonnade allemande et à chaque alerte, une pluie d'obus (les shrapnels), s'abat sur les quartiers. En octobre 1918, les Allemands ont miné les passerelles, les ponts et les écluses sautent tour à tour. La gare est en ruines et les voies de chemin de fer sont pulvérisées. Partout les dégâts sont considérables, les maisons dans le proche alentour n'ont plus de vitres, leurs portes et fenêtres sont arrachées, les toitures éventrées. Les écluses sont détruites et le canal s'est vidé de son eau. Ultime explosion, à l’aube : l'usine à gaz.